Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 21:30

TOI

Je pense à toi…

Mais je ne devrais pas.

Toi.

Toi qui me torture l’esprit.

Ta voix.

Tes yeux.

Tes lèvres.

Si douces et charnues.

Des lèvres faites pour embrasser.

Pour m’embrasser.

Je rêve de ta peau contre la mienne.

De ton corps contre le mien.

Mais je ne devrais pas.

Mon coeur s’emballe en ta présence.

Je m’imagine, nue.

Proie de tes mains.

De tes désirs.

L’envie de toi est tellement forte.

Elle emplit mes nuits.

De ton visage.

De ta chaleur.

De ton sexe en moi.

Du plaisir que tu me donnes.

Je pense à toi…

Mais je ne devrais pas.

 

C’est plus fort que moi…

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Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Lundi 15 février 1 15 /02 /Fév 17:18
Mais d’où vient
L’émotion étrange
Qui me fascine
Autant qu’elle me dérange
Je frissonne poignardé par le beau
C’est comme
Dans l’âme où le couteau




La blessure traverse mon cœur
Et j’ai
La joie dans la douleur
Je m’enivre de ce poison
À en perdre la raison
[Refrain]:
C’est le bien qui fait mal
Quand tu aimes
Tout à fait normal
Ta haine
Prend le plaisir
C’est si bon de souffrir
Succombe au charme
Donne tes larmes


C’est le bien qui fait mal
[Qui fait mal]
Quand tu aimes
Tout à fait banal
[Ce bien qui fait mal]
Ta peine
Les vrais délices
Passent par le supplice
Baisse les armes
Donne tes larmes
Je ressens
De violentes pulsions
J’ai l’impression
De glisser vers le fond
Si j’ignore
D’où vient ce fléau
J’adore
L’avoir dans la peau
Envoûté par des idées folles
Soudain
Mes envies s’envolent
Le désir devient ma prison
À en perdre la raison
[Refrain]
Je ressens
De violentes pulsions
J’ai l’impression
De glisser vers le fond
[Refrain]

Le bien qui fait mal de Mozart l'opéra rock, pour l'écouter c'est
ici
Moi aussi j'aime quand ça fait mal, quand c'est fort, mordre et griffer
Laisser mon empreinte ou garder la sienne...
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Lundi 4 janvier 1 04 /01 /Jan 13:11
Ta caresse est en moi, impossible, absente, je la porte partout où je suis...

                        caresse.jpg

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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 19:30

Les jours de peine   
Fredonnent un je-ne-sais-quoi   
La ritournelle  
Des indécis des "quoi ? "  
Par habitude  
J'ai pris ce chemin   
D'incertitude
Mes Va sont des Viens  
 
Jours de sagesse  
La voix unie et droite   
Mais l'homme doute  
Et court 
De multiples détours 
Vague mon âme   
Va, prends ton chemin  
L'attente est sourde   
Mais la vie me retient   
 

Prends-moi dans tes draps   
Donne-moi la main  
Ne viens plus ce soir  
Dis, je m'égare  
Dis moi d'où je viens   
Ne dis rien je pars   
Rejoue-moi ta mort   
Je m'évapore 
Des mots sur nos rêves 
Déposer mes doutes
Et sur les blessures  
Point de sutures   
Vole mon Amour 
Refais-moi l'amor   
Confusion des pages  
Je fais naufrage   
 
Les nuits sont chaudes   
Mon sang chavire et tangue   
Bateau fantôme   
Qui brûle   
Je suis tempête et vent   
Ombre et lumière  
Se jouent de l'Amour  
Mes vagues reviennent   
Mes flots sont si lourds 
 

Prends-moi dans tes draps  
Donne-moi la main 
Ne viens plus ce soir 
Dis, je m'égare   
Dis moi d'où je viens
Ne dis rien je pars 
Rejoue-moi ta mort  
Je m'évapore   
Des mots sur nos rêves   
Déposer mes doutes   
Et sur les blessures   
Point de sutures   
Vole mon Amour   
Refais-moi l'amor   
Confusion des pages   
Je suis naufrage

 
moi aussi je suis en train de faire naufrage....
chanson magnifique de Mylène Farmer, pour l'écouter c'est ici
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Mardi 20 janvier 2 20 /01 /Jan 18:26

Ses lèvres sont douces, charnues. Passé le premier moment d'hésitation, ma langue se glisse dans sa bouche, rencontre la sienne. Nos goûts se mêlent, savoureux et délicats.

 Il colle son corps contre le mien, je le sens puissant, fort. Mes mains me le confirment lorsqu'elles s'insinuent sous son tee-shirt et y découvrent des muscles saillants. Sa peau est douce, tout comme sa toison sur son torse.


 Nos baisers se font plus chauds, plus audacieux, sa bouche avalant littéralement la mienne. Il me pousse lentement contre le bureau tout en continuant à m'embrasser fougueusement. Il m'ôte vivement mon débardeur. Dés lors, mes seins agissent sur lui comme un aimant, ses mains y étant immédiatement attirées. Pendant que sa bouche descend le long de mon cou, il me pétrit la poitrine, me la malaxe avec force, m'arrache quasiment mon soutien-gorge tant son désir est intense. Le mien n'est pas en reste. Complètement sous son emprise, je me frotte contre lui, sentant son sexe proéminent contre le mien déjà humide. A mon tour de lui retirer son tee-shirt que je jette en travers de la pièce. Je ne résiste pas au plaisir de le mordiller. Les épaules, le cou, humm. Je lui grignote aussi les tétons en les faisant tourner entre mes dents. Je le sens se raidir. Est-ce le désir ou moi qui vais trop loin dans la douleur...


Il s'écarte de moi et se penche sur son bureau. D'un large geste de la main, il envoie toute la paperasse au sol, nous faisant place nette. S'agenouillant devant moi, il fait glisser mon bermuda et mon string à terre, me retrouvant entièrement nue devant lui. Il me contemple quelques instants, puis dirige son visage vers mon sexe. Il l'étudie, le respire comme pour s'en imprégner. Il y dépose de petits baisers sur le mont de vénus, joue avec son nez. Il m'écarte les jambes et ses baisers se font plus intimes. Ses légers coups de langues contre mes lèvres me font trembler. Il s'est emparé de mes fesses qu'il emprisonne dans les mains, me poussant contre sa        bouche. Mes doigts s'accrochent à ses cheveux pour l'empêcher de reculer, mais je crois qu'il n'en a nullement envie !

Sa bouche se fait plus vorace, elle m'engloutit totalement. Sa langue est démoniaque, se faufilant partout à la fois. Mes gémissements emplissent la pièce lorsqu'elle rentre en moi, me léchant les entrailles tel un animal affamé.


Il se redresse et ôte le reste de ses vêtements. Sa nudité est parfaite et son sexe tendu vers moi, un appel à l'amour. Il me prend sous les bras, me soulève et me dépose sur son bureau comme si j'étais un fétu de paille. Les cuisses écartées, je n'attends que lui...

Il s'insère en moi délicatement, je ferme les paupières tant la sensation est délicieuse. Son sexe me remplit entièrement et je le retiens en moi tel un étui de chair. Il entame lentement ses va et vient tout en soutenant mon regard. Mes mains caressent ses fesses, le pressent encore plus contre moi. Je veux chaque centimètre de lui en moi, tout en moi.

- plus fort...

Ces deux mots sont plus une supplique qu'une demande...


Et il accélère. Et il s'enfonce à chaque fois plus profondément en moi. Le bureau tangue sous ses coups de butoir, et mon esprit vacille sous ses assauts bestiaux. Mon corps n'est que désir, n'est que chaleur. Je m'agrippe à lui, crochetant mes cuisses à sa taille, l'emprisonnant. Mes ongles labourent son dos, y laissant des ornières rougeâtres. Nos souffles s'accélèrent, nos gémissements s'intensifient, faisant place à des cris de plus en plus rauques. Soudain, il se raidi, et dans un ultime soubresaut, explose en moi. Je sens sa semence m'envahir et dans un cri aigu, je me laisse aller au paroxysme du plaisir...

Un bon moment plus tard, c'est le regard un peu gêné que nous nous quittons. Il me raccompagne à l'ascenseur. Nous nous embrassons une dernière fois, me murmurant à l'oreille un « à très vite » qui me fait sourire.


Me revoilà dans ma voiture, sous ce soleil caniculaire. Le courrier urgent, lui, est resté sur le bureau....

                                        

              

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Mardi 14 octobre 2 14 /10 /Oct 19:22

Vendredi 15 juillet, 15h30. Les rues de Lille sont désertes par cet après-midi étouffant. A croire que personne n’ose braver ce soleil caniculaire. Et moi, je suis là, dans ma voiture postale, ou plutôt, dans mon four ! J’ai l’impression d’être un rôti !! Quelle idée de travailler un jour où tout le monde profite d’un pont comme ça. Mes clients se comptent sur les doigts d’une seule main et j’ai quasiment une heure et demie à tuer, ça va être horriblement long…

Troisième client, un cabinet d’architecture. Je sonne à l’interphone, on ouvre. Trois étages et me voilà devant la porte déjà entrouverte à mon intention.

- entrez, entrez…

A peine à l’intérieur et la climatisation me saute au visage.

- que dieu bénisse la clim ! Dis-je en souriant. Y a quelqu’un ?

- oui, oui, je suis là…

La voix vient du fond du couloir, c’est le patron. Je suis cette direction, je m’attends à croiser au moins une secrétaire, mais personne, sûrement en RTT.

- désolé, mais je vais vous retarder, comme vous avez pu le constater je suis tout seul, mes collaboratrices ont toutes voulu profiter de ce pont du 14 juillet, mais comme j’avais deux, trois courriers importants à finir, je me suis dévoué, normal, c’est moi le boss !

A peine finie sa phrase, je le vois sortir du bureau au moment où j’arrive. Y a pas à dire, c’est vraiment un bel homme, mais moi qui ait tellement l’habitude de le voir en costume-cravatte, quelle surprise de le contempler en tee-shirt et jean, quelle transformation ! Je ne peux retenir un « waouh » d’admiration qui ne lui échappe pas.

- oui, je sais, je suis négligé aujourd’hui.

- non, au contraire, je vous trouve très bien, ça change.

Je ne peux tout de même pas lui dire que son tee-shirt lui moule le torse comme une seconde peau et que son jean lui fait un cul d’enfer !

- je vous plais, s’amuse-t-il à me demander.

- totalement subjuguée même.

- ah oui ?

Et il ponctue sa question d’un haussement de sourcil cabotin qui ne m’échappe pas. Houlà, dans quoi je m’embarque…

- vous voulez boire quelque chose ? Eau, jus de fruits, sodas ?

- ma foi pourquoi pas, un truc frais me ferait le plus grand bien, il fait trop chaud dehors, c’est intenable.

Je le suis jusqu’à son bureau où trône une table de travail immense, encombrée de papiers et de plans divers et variés. Cachée derrière, la caverne d’Ali Baba : le mini frigo !

- jus d’oranges, ça va ?

- parfait, pourvu que ce soit frais.

Je ne peux m’empêcher de poser ma canette contre mon front, me rafraîchissant immédiatement.

- dommage qu’il n’y ait pas de douche ici, je vous l’aurais bien proposée.

- je crois que je me serais laissée tenter.

- j’aurais pu en profiter aussi, me lançant cette phrase en me fixant intensément du regard.

Je baisse les yeux, rougissante, mon trouble ne lui échappant pas.

- il y a toujours une nuée de secrétaires autour de moi habituellement et je n’ai jamais eu la possibilité de vous avouer à quel point je vous trouvais charmante.

- c’est gentil, je vous retourne le compliment, essayant de me changer les idées en buvant un peu.

- toujours chaud ?

- un peu moins quand même, mais pas encore totalement rafraîchie.

- laissez moi vous aider…

 S’approchant doucement, il vient apposer sa canette contre ma nuque, me donnant la chair de poule, mais je ne sais si c’est la fraîcheur de la bouteille ou la proximité de nos deux corps qui en est responsable. Je lève les yeux sur lui, soutenant son regard. Son autre main vient tâter la moiteur de ma peau sous mon débardeur. Je perçois une légère odeur de transpiration émanant de son corps et rien que cela me donne envie de lui.

- vous avez un peu de temps ? Me demande-t-il, tout en continuant à caresser doucement mon ventre du bout des doigts.

- je dois avoir un peu plus d’une heure devant moi, c’est mort aujourd’hui…

Plus envie de réfléchir si ce que je fais est bien ou mal, juste la volonté de profiter de l’instant présent.

Je lui tends mes lèvres, offertes. Il accepte mon invitation en m’embrassant tendrement, de cette tendresse qui caractérise  tout premier baiser entre deux êtres qui ne se connaissent pas encore…



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Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 19:28

Sous tension m'est pure
Nulle amertume
Un frisson

Sous pressions affines
Endorphine
Compagnon

Sous caution des sages
Divine image
De l'addiction

"Stimule stimule"                                  

 












Vivre Les origines
Libertine libérons

Sexsexsexsexsextonik
C'est là
Joueur un jouet sans coeur

Sexsexsexsexsextonik
Serial loveur killer

D'ivoire ou de jade
Au vers aimable

Un simulacre
"Stimule de nacre"

Dis moi comme j'extase
Sculpté de bois
Réjouis moi

"Sextonik" de Mylène Farmer, pour l'écouter, c'est ici

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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 18:51

Tes mots ne me font plus frissonner...

Ta voix ne me fait plus vibrer…

Je suis enfin libérée de ta domination, de cette emprise que tu avais sur moi et qui me faisait céder à chaque fois…

Une petite pointe de sentiment brille encore au fond de mon coeur mais elle s’éteindra, comme le reste, comme mon amour pour toi.

Je suis lasse de toi, de ton attitude, de cette façon d’être qui me faisait envie il y a encore peu, et qui, maintenant,  m’irrite et  m’indispose.

Je regarde ailleurs, dans une direction qui n’est plus la tienne.

 

 

Je ne t’aime plus…


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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 20:04

Je t’attends, Toi, qui n’est pas là

Emanation de mes désirs les plus profonds

Objet de toutes mes adorations

Etre cher qui emplirait ma vie d’éclats

 

Partie de moi-même

De ma chair, de mon sang

De l’amour, tu serais l’emblème

De ma vie, le prolongement

 

Envie de voir mon ventre s’arrondir

Et de mes entrailles te protéger

Au fil des mois te regarder grandir

A l’intérieur de moi te sentir bouger

 

Caresser ce cocon protecteur

En apprécier le toucher velouté

T’éviter toute angoisse, toute peur

En attendant de pouvoir enfin te toucher

 

Je t’attends, Toi, qui n’est pas là

Petit être qui emplirait ma vie d’éclats

Ma solitude condamne mon désir le plus cher

De pouvoir un jour…être mère…

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Jeudi 5 juin 4 05 /06 /Juin 17:43
Love me, please love me
Je suis fou de vous
Pourquoi vous moquez-vous chaque jour
De mon pauvre amour ?
Love me, please love me
Je suis fou de vous
Vraiment prenez-vous tant de plaisir
A me voir souffrir

Si j'en crois votre silence
Vos yeux pleins d'ennui
Nul espoir n'est permis
Pourtant je veux jouer ma chance
Même si, même si
Je devais y brûler ma vie

Love me, please love me
Je suis fou de vous
Mais vous moquerez-vous toujours
De mon pauvre amour ?

Devant tant d'indifférence
Parfois j'ai envie
De me fondre dans la nuit
Au matin je reprends confiance
Je me dis, je me dis
Tout pourrait changer aujourd'hui

Love me, please love me
Je suis fou de vous
Pourtant votre lointaine froideur
Déchire mon cœur
Love me, please love me
Je suis fou de vous
Mais vous moquerez-vous toujours
De mes larmes d'amour ?
By Michel Polnareff

















    

Je suis désolée...
Je ne peux pas...
Et ne veux pas...
Par colibri - Publié dans : chansons qui m'interpellent
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